Linux – WOoOinux | Linux, Développement, Geekerie https://www.woinux.fr Un site utilisant WordPress Wed, 01 Jul 2015 13:09:04 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=4.5.2 Rooter facilement un téléphone Android avec Towelroot https://www.woinux.fr/rooter-facilement-un-telephone-android-avec-towelroot-644 https://www.woinux.fr/rooter-facilement-un-telephone-android-avec-towelroot-644#respond Wed, 01 Jul 2015 13:07:10 +0000 https://www.woinux.fr/?p=644 Towelroot est une application Android qui permettra, une fois installée, de rooter votre téléphone en un clic ! Je vous avais déjà parlé d’une méthode pour rooter un téléphone Android mais cette dernière était difficile, longue et pas forcément efficace. Avec Towelroot, rooter son téléphone n’a jamais été aussi simple ! Voyons un peu comment ça fonctionne.

Attention ! Rooter un téléphone Android est une manipulation délicate à effectuer à vos risques et périls !

1. Télécharger et installer Towelroot

Rendez-vous sur le site https://towelroot.com/

Faites un clic droit sur le logo puis cliquez sur “Enregistrer le cible du lien sous” :

Téléchargez Towelroot

Connectez votre téléphone en USB sur votre ordinateur et copiez le fichier tr.apk (normalement disponible le répertoire Téléchargements du dossier personnel de votre ordinateur) quelque part sur votre téléphone (soyez sûr de pouvoir le retrouver ensuite…).

Sur votre téléphone, naviguez dans les fichiers jusqu’à ce que vous trouviez le fichier tr.apk puis cliquez dessus pour l’installer.

2. Rooter le téléphone

Lancer l’application puis cliquez sur le bouton “make it ra1n” pour lancer le rootage du téléphone :

Lancer le rootage avec Towelroot

Towelroot vous annonce alors que votre téléphone va redémarrer dans 15 secondes :

Towelroot annonce qu'il va redémarrer votre téléphone

3. Vérifier que l’on a bien rooté son téléphone

Votre téléphone a redémarré et tout s’est bien passé mais il est tout de même plus prudent de s’assurer que le rootage a bien fonctionné grâce à l’application Root Checker disponible sur Google Play.

Installez cette application puis lancez la. Cliquez ensuite sur le bouton “Verify Root Access” et observez le résultat.

Si vous obtenez le message ci-dessous c’est gagné !

Rooter son téléphone Android : Rootage du téléphone

En revanche, si vous obtenez le message d’erreur ci-dessous c’est sûrement que la manipulation a échoué…

Rooter son téléphone Android : Rootage du téléphone

4. Sécuriser le téléphone

Maintenant que vous avez l’accès root sur votre téléphone dites vous que les applications peuvent l’avoir aussi ! Je vous recommande donc d’installer l’application SuperSu disponible sur le Google Play. Cette application vous avertira lorsqu’une application tente d’accéder au root de votre téléphone.

Enjoy !

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Installer Firefox Developer Edition sur Ubuntu ou Debian https://www.woinux.fr/installer-firefox-developer-edition-sur-ubuntu-ou-debian-708 https://www.woinux.fr/installer-firefox-developer-edition-sur-ubuntu-ou-debian-708#respond Wed, 12 Nov 2014 21:08:52 +0000 https://www.woinux.fr/?p=708 Firefox Developer Edition est une version de Firefox spécialement conçue pour les développeurs absolument indispensable !!!

Il intègre :

  • WebIDE : Développez, déployez et déboguez des applications Firefox OS directement depuis votre navigateur ou un appareil Firefox OS, grâce cet outil qui remplace le gestionnaire d’applications.
  • Vue adaptative : Visualisez comment votre site ou application web s’affiche sur des écrans de différentes tailles sans avoir à redimensionner la fenêtre de votre navigateur.
  • Valence : Développez et déboguez vos applications depuis divers navigateurs et appareils grâce à cette puissante extension pré-installée dans Firefox Developer Edition.
  • Éditeur Web Audio : Inspectez et interagissez avec l’API Web Audio en temps réel afin de vous assurer que tous les nœuds audio sont correctement connectés.
  • Inspecteur de page : Examinez le code HTML et CSS de n’importe quelle page web et modifiez facilement la structure et l’agencement d’une page.
  • Console web : Consultez les journaux associés à une page web et utilisez la console web pour interagir avec les pages web grâce à JavaScript.
  • Débogueur JavaScript : Parcourez le code JavaScript et examinez ou modifiez son état pour faciliter le débogage.
  • Moniteur réseau : Visualisez toutes les requêtes réseau effectuées par votre navigateur, ainsi que la durée et les détails de chaque requête.
  • Éditeur de style : Affichez et éditez les styles CSS associés à une page web, créez de nouvelles feuilles de style ou appliquez des feuilles existantes à n’importe quelle page web.

Installer Firefox Developer Edition

Commencez par télécharger Firefox Developer Edition sur le site officiel :

Télécharger Firefox Developper Edition

Déplacez ensuite l’archive dans votre répertoire personnel  :

mv ~/Téléchargements/firefox-35.0a2.fr.linux-x86_64.tar.bz2 ~/

Décompressez l’archive :

tar -jxvf ~/firefox-35.0a2.fr.linux-x86_64.tar.bz2

Créez un raccourcis pour lancer Firefox Developper Edition plus rapidement  (en root)  :

sudo ln -s ~/firefox/firefox /usr/bin/firefox-dev-edition

Donnez les droits d’exécution au raccourcis nouvellement créé (en root) :

sudo chmod +x /usr/bin/firefox-dev-edition

Et voilà, vous pouvez lancer Firefox Developer Edition :

firefox-dev-edition

Firefox Developer Edition

 

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Protéger le répertoire d’un site Internet avec Htaccess et Htpasswd https://www.woinux.fr/proteger-le-repertoire-dun-site-internet-avec-htaccess-et-htpasswd-613 https://www.woinux.fr/proteger-le-repertoire-dun-site-internet-avec-htaccess-et-htpasswd-613#respond Mon, 20 Oct 2014 17:25:23 +0000 https://www.woinux.fr/?p=613 Les fichiers .htaccess sont des fichiers de configuration des serveurs Apache. Ils permettent :

  • De faire une configuration de PHP spécifique pour un site Internet;
  • De faire de la réécriture d’URL;
  • De gérer les pages d’erreurs;
  • De sécuriser des répertoires par un mot de passe;

Nous allons voir dans ce tutoriel comment sécuriser le répertoire d’un site internet.

1. Création du fichier .htaccess

Dirigez-vous dans le répertoire que vous souhaitez sécuriser puis créez un fichier nommé .htaccess.

Copiez-y le code ci-dessous :

AuthName "Répertoire protégé"
AuthType Basic
AuthUserFile "/home/site/public_html/admin/.htpasswd"
Require valid-user

Il vous faudra adapter les lignes AuthName et AuthUserFile pour qu’il pointe vers le chemin de votre fichier .htpasswd (que vous n’avez pas encore créer mais ça va venir…). Attention, le chemin vers le fichier .htpasswd doit être absolu ! Pour connaître ce chemin, si par exemple vous êtes sur un hébergement mutualisé, il existe une fonction PHP qui va vous permettre d’obtenir cette précieuse information.

2. Connaître le chemin absolu du répertoire à protéger

Créez un fichier nommé path.php et copiez-y le code ci-dessous :

<?php echo realpath('path.php'); ?>

Uploadez ce fichier dans le répertoire que vous souhaitez protéger puis accédez-y via votre navigateur (par exemple) :

http://www.monsite.com/nom_du_repertoire_protege/path.php

Notez bien l’information renvoyée par votre navigateur puis supprimez le fichier path.php.

Éditez le fichier .htaccess et modifiez la valeur de AuthUserFile par l’information que vous avez notez il y a deux minutes en prenant soin de remplacer path.php par .htpasswd dans le chemin obtenu.

3. Créer le fichier .htpasswd

Créez maintenant le fichier .htaccess à l’endroit exacte indiqué par la valeur du champ AuthUserFile contenu dans le fichier .htaccess.

Dans ce fichier vous allez indiquer un identifiant (de votre choix) ainsi qu’un mot de passe (de votre choix aussi) qui devra être crypté. Il existe un site Internet qui permet de générer la ligne que vous devrez coller dans le fichier .htaccess. Il suffira de rentrer un identifiant et un mot de passe et le site nous donnera gentiment la ligne que vous n’aurez plus qu’à copier.

Rendez-vous sur le site http://www.htaccesstools.com/htpasswd-generator/

Indiquez un identifiant ainsi qu’un mot de passe puis cliquez sur le bouton “Create .htpasswd file” :

Choix de l'identifiant et du mot de passe pour le fichier htpasswd

Le site génère le contenu du fichier .htpasswd :

Génération du contenu du fichier .htpasswd

Copiez la ligne générée par le site et collez la dans votre fichier .htpasswd. Sauvegardez le fichier.

Rendez-vous sur votre site et tentez d’accéder à votre répertoire protégé (par exemple) :

http://www.monsite.com/nom_du_repertoire_protege/

Si vous avez correctement suivi le tutoriel vous devriez voir apparaître une boîte de dialogue vous demandant un identifiant ainsi qu’un mot de passe :

Authentification requise pour accéder au répertoire protégéEnjoy !

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Installer Popcorn Time Bêta 3.2 pour Ubuntu 14.04 https://www.woinux.fr/installer-popcorn-time-beta-3-2-pour-ubuntu-14-04-620 https://www.woinux.fr/installer-popcorn-time-beta-3-2-pour-ubuntu-14-04-620#respond Wed, 24 Sep 2014 10:42:40 +0000 https://www.woinux.fr/?p=620 Popcorn Time est un logiciel libre de lecture en continu de vidéo, par internet, via le protocole réseau pair à pair BitTorrent. Il est distribué sous licence GPLv3 et est disponible pour Windows, Mac et Linux. Nous allons voir, dans ce tutoriel, comment installer la version pour Ubuntu 14.04.

Commencez par vous rendre sur le site de Popcorn Time pour télécharger la version du client correspondant à votre version d’Ubuntu. Une fois sur la page d’accueil du site, cliquez sur le bouton “Download“.

Téléchargement du client Popcorn Time

Lancez un terminal puis rendez-vous dans dans votre répertoire Téléchargements.

cd ~/Téléchargements

Créez un répertoire popcorn-time dans votre répertoire personnel.

mkdir ~/popcorn-time

Déplacez l’archive téléchargée dans le répertoire nouvellement créé (remplacez linuxXX par linux64 ou linux 32 suivant votre version d’Ubuntu).

mv Popcorn-Time-linuxXX.tar.gz ~/popcorn-time/

Rendez-vous dans le répertoire popcorn-time puis décompressez l’archive (remplacez linuxXX par linux64 ou linux 32 suivant votre version d’Ubuntu).

cd ~/popcorn-time
tar -xvzf Popcorn-Time-linuxXX.tar.gz

Lancez maintenant Popcorn Time.

./Popcorn-Time

Et là c’est le drame !!! Popcorn Time ne se lance pas car il n’arrive pas à accéder à la librairie libudev0. Corrigez donc ce problème en installant cette dernière.

sudo apt-get install libudev0

Si le paquet n’est pas trouvé et que l’installation de libudev0 échoue il existe une autre solution.

Rendez-vous dans le répertoire Téléchargement.

cd ~/Téléchargements

Puis téléchargez la version de libudev0 en fonction de l’architecture de votre système.

Pour les versions 32 bits.

wget https://launchpad.net/ubuntu/+source/udev/175-0ubuntu19/+build/4325790/+files/libudev0_175-0ubuntu19_i386.deb

Pour les versions 64 bits.

wget https://launchpad.net/ubuntu/+source/udev/175-0ubuntu19/+build/4325788/+files/libudev0_175-0ubuntu19_amd64.deb

Puis lancez l’installation de libudev.

Pour les versions 32 bits

sudo dpkg -i libudev0_175-0ubuntu19_i386.deb

Pour les versions 64 bits.

sudo dpkg -i libudev0_175-0ubuntu19_amd64.deb

Relancez maintenant Popcorn Time.

Fenêtre principale de Popcorn Time

Lancez un film pour tester.

Lancement d'un film Popcorn Time

Pas mal non ?

Si vous êtes sur Unity, faites un clic droit sur l’icône de Popcorn Time dans le lanceur pour le conserver dans ce dernier et ainsi, pouvoir lancer Popcorn Time plus facilement la prochaine fois.

Conserver Popcorn Time dans le lanceur d'Unity

Enjoy

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Rooter un téléphone Android https://www.woinux.fr/rooter-un-telephone-android-582 https://www.woinux.fr/rooter-un-telephone-android-582#respond Wed, 09 Jul 2014 09:27:54 +0000 https://www.woinux.fr/?p=582 Nous allons voir dans ce tutoriel comment rooter un téléphone sous Android. Avant de commencer, attardons nous sur ce qui signifie “rooter” mais comme je suis flemmard et que je n’ai pas envie de réinventer la roue je vous renvoie vers ce très bon article du site Phone Android qui explique très bien ce que signifie le root et pourquoi il est utile de rooter son téléphone Android.

Attention ! Rooter un téléphone Android est une manipulation délicate à effectuer à vos risques et périls !

Installer le SDK Android pour les pilotes ADB

Pour commencer, il est nécessaire d’installer le SDK d’Android sur votre ordinateur car ce dernier fournira les pilotes ADB nécessaires à la bonne communication entre la machine et votre téléphone via USB.

Commencez pas télécharger le SDK.

cd ~
mkdir rooting_android
mkdir rooting_android/sdk_android
cd rooting_android/sdk_android/
wget http://dl.google.com/android/adt/adt-bundle-linux-x86_64-20140702.zip

Pour télécharger d’autres versions vous pouvez vous rendre sur la page de téléchargement  :

Page de téléchargement Multi-versions -> http://developer.android.com/sdk/index.html#download
Version Linux 32 bits -> http://dl.google.com/android/adt/adt-bundle-linux-x86-20140702.zip
Version Linux 64 bits -> http://dl.google.com/android/adt/adt-bundle-linux-x86_64-20140702.zip

Décompressez ensuite l’archive puis lancez le SDK.

unzip adt-bundle-linux-x86_64-20140702.zip
cd adt-bundle-linux-x86_64-20140702/sdk/tools/
./android

Le SDK se lance.

Rooter son téléphone Android : Installation du SDK Android

Vérifiez que les packages Android SDK Tools, Android Plateforms-Tools aient bien le statut “Installed“. Si ce n’est pas le cas, cochez ces cases. Cochez maintenant les cases Documentation for Android et le support de votre version Android Android xx (API xx) correspondant à votre version d’Android (4.3 dans mon cas) puis cliquez sur le bouton “Install xx packages“.

Rooter son téléphone Android : Installation du SDK Android

Une fois les packages installés vous obtenez une fenêtre de confirmation.

Rooter son téléphone Android : Installation du SDK Android

Quittez maintenant le SDK puis, tout en restant dans le répertoire “tools” dans le terminal, mettez ensuite à jour la variable d’environnement PATH pour accéder au programme du SDK.

echo "export PATH=\${PATH}:$(pwd)" >> ~/.bashrc
cd ../platform-tools
echo "export PATH=\${PATH}:$(pwd)" >> ~/.bashrc
. ~/.bashrc

Il ne reste plus qu’à mettre à jour le SDK.

android update sdk

Plus d’informations sur l’installation du SDK Android sous Ubuntu -> http://doc.ubuntu-fr.org/android#installation_du_sdk_android.

Activer le mode débogage USB et autoriser les sources inconues

Pour activer le mode débogage USB sous Android il faut se rendre dans Paramètres -> Options pour les développeurs -> Puis cocher la case Débogage USB.

Si vous ne voyez pas le menu Options pour les développeurs consultez ce tutoriel pour débloquer ce menu.

Vous devez aussi autoriser l’installation d’applications issues de sources inconnues dans Paramètres -> Sécurité -> Puis cochez la case Sources Inconnues.

Une dernière chose, il faut aussi vérifier que le mode de connexion USB soit configuré sur MTP (Mode Transfert Multimédia) et non MSC (Mode de Stockage de Masse) sinon le script n’aura pas accès à la mémoire interne de votre téléphone.

Paramètres > Stockage > Menu > Connexion USB à l’ordinateur

Ou

Paramètres -> Plus -> Utilitaires USB

Ou, si vous avez un Sony Xperia

Paramètres -> Xperia -> Connectivité USB

Une fois ces opérations terminées, connectez votre téléphone sur votre ordinateur à l’aide de votre câble USB.

Lancer le script pour rooter le téléphone

Il ne nous reste plus qu’à télécharger et exécuter Easy Rooting Tool pour procéder au rootage du téléphone.

Téléchargez Easy Rooting Tool

cd ~
mkdir rooting_android/easy_rooting_toolkit
cd rooting_android/easy_rooting_toolkit/
wget http://fs1.d-h.st/download/00070/SCa/DooMLoRD_Easy-Rooting-Toolkit_v19a_perf-event-exploit.zip

À l’heure où j’écris cet article, la dernière version est la 19a. Il peut être intéressant d’aller voir si une version plus récente existe à cette adresse : http://d-h.st/users/DooMLoRD

Décompressez et lancez le script

unzip DooMLoRD_Easy-Rooting-Toolkit_v19a_perf-event-exploit.zip
chmod +x runme_linux.sh
./runme_linux.sh

Le script se lance et effectue le rootage de votre téléphone.

Rooter son téléphone Android : Rootage du téléphone

Si tout s’est bien passé votre téléphone doit redémarrer tout seul.

Si malheureusement, comme moi, vous avez un message d’erreur (voir figure ci-dessous), il va falloir flasher le kernel de votre téléphone car celui installé actuellement n’est pas supporté par Esay Rooting Tool. Pour cele je vous recommande le tutoriel d’Alex971 sur le site Frandroid.

Rooter son téléphone Android : Rootage du téléphone

Vérifier que l’on a bien rooté son téléphone

Votre téléphone a redémarré et Easy Rooting Tool vous indique que tout s’est bien passé mais il est tout de même plus prudent de s’assurer que le rootage a bien fonctionné grâce à l’application Root Checker disponible sur Google Play.

Installez cette application puis lancez la. Cliquez ensuite sur le bouton “Verify Root Access” et observez le résultat.

Si vous obtenez le message ci-dessous c’est gagné !

Rooter son téléphone Android : Rootage du téléphone

En revanche, si vous obtenez le message d’erreur ci-dessous c’est sûrement que la manipulation a échoué… Il se peut que le kernel installé sur votre téléphone ne soit pas supporté par Easy Rooting Tool…

Rooter son téléphone Android : Rootage du téléphone

Télécharger Root Checker sur Google Play -> https://play.google.com/store/apps/details?id=com.joeykrim.rootcheck&hl=fr

 

Enjoy

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Installer Teamspeak 3 sur Ubuntu 14.04 https://www.woinux.fr/installer-teamspeak-3-sur-ubuntu-14-04-510 https://www.woinux.fr/installer-teamspeak-3-sur-ubuntu-14-04-510#comments Fri, 23 May 2014 15:20:22 +0000 https://www.woinux.fr/?p=510 TeamSpeak est un logiciel propriétaire d’audioconférence sur Internet (voix sur réseau IP). Il permet de discuter à plusieurs dans des canaux, avec d’autres utilisateurs. Pour utiliser TeamSpeak, chaque personne doit avoir installé sur son ordinateur une application spéciale (client). Avec cette dernière, elle peut se connecter aux milliers de serveurs TeamSpeak et entrer dans une salle de discussion.

Le public visé par TeamSpeak est essentiellement les joueurs, qui peuvent utiliser le logiciel pour communiquer avec les autres joueurs de la même équipe, dans les jeux multijoueurs. La communication par la voix donne un avantage indéniable en compétition, permettant aux joueurs de garder ses mains pour l’action dans le jeu, et non la communication écrite.

1- On va installer Teamspeak 3 dans le répertoire opt :

cd /opt/

2 – On récupère le fichier d’installation de Teamspeak 3 :

Pour Ubuntu 32 bits

sudo wget http://dl.4players.de/ts/releases/3.0.14/TeamSpeak3-Client-linux_x86-3.0.14.run

Pour Ubuntu 64 bits

sudo wget http://dl.4players.de/ts/releases/3.0.14/TeamSpeak3-Client-linux_amd64-3.0.14.run

3- On permet l’exécution du fichier d’installation:

Pour Ubuntu 32 bits

sudo chmod +x TeamSpeak3-Client-linux_x86-3.0.14.run

Pour Ubuntu 64 bits

sudo chmod +x TeamSpeak3-Client-linux_amd64-3.0.14.run

4 – Puis on lance l’installation :

Pour Ubuntu 32 bits

sudo ./TeamSpeak3-Client-linux_x86-3.0.14.run

Pour Ubuntu 64 bits

sudo ./TeamSpeak3-Client-linux_amd64-3.0.14.run

5 – On accepte la licence en appuyant sur la touche “y” puis en validant avec la touche “Entrée”

6 – On peut maintenant supprimer le fichier d’installation qui, du coup, ne sert plus à rien

Pour Ubuntu 32 bits

sudo rm TeamSpeak3-Client-linux_x86-3.0.14.run

Pour Ubuntu 64 bits

sudo rm TeamSpeak3-Client-linux_amd64-3.0.14.run

7 – On crée un lien symbolique pour lancer plus rapidement Teamspeak 3

Pour Ubuntu 32 bits

sudo ln -s /opt/TeamSpeak3-Client-linux_x86/ts3client_runscript.sh /usr/local/bin/teamspeak3
sudo chmod + /usr/local/bin/teamspeak3

Pour Ubuntu 64 bits

sudo ln -s /opt/TeamSpeak3-Client-linux_amd64/ts3client_runscript.sh /usr/local/bin/teamspeak3
sudo chmod + /usr/local/bin/teamspeak3

8 – On peut désormais lancer Teamspeak 3 dans un terminal la commande ci-dessous :

teamspeak3

9 – On va maintenant créer un raccourcis dans le dash pour lancer Teamspeak 3 encore plus rapidement

sudo nano /usr/share/applications/teamspeak3.desktop

Puis on y copie le contenu ci-dessous

Pour Ubuntu 32 bits

[Desktop Entry]
Name=Teamspeak 3
Exec=teamspeak3
Icon=/opt/TeamSpeak3-Client-linux_x86/logo.png                                        
Type=Application
Categories=internet
StartupNotify=true
X-Ubuntu-Gettext-Domain=teamspeak3

Pour Ubuntu 64 bits

[Desktop Entry]
Name=Teamspeak 3
Exec=teamspeak3
Icon=/opt/TeamSpeak3-Client-linux_amd64/logo.png                                        
Type=Application
Categories=internet
StartupNotify=true
X-Ubuntu-Gettext-Domain=teamspeak3

On télécharge une icône

Pour Ubuntu 32 bits

cd /opt/TeamSpeak3-Client-linux_x86/
sudo wget https://www.woinux.fr/wp-content/uploads/2014/05/logo.png
sudo chmod 644 logo.png

Pour Ubuntu 64 bits

cd /opt/TeamSpeak3-Client-linux_amd64/
sudo wget https://www.woinux.fr/wp-content/uploads/2014/05/logo.png
sudo chmod 644 logo.png

Et voilà Teamspeak 3 est installé ! Pour le lancer il suffit de chercher Teamspeak 3 dans le dash d’Ubuntu

teamspeak3-00

Teamspeak 3 se lance :

teamspeak3-01

Enjoy

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Youtube dans ton terminal ! https://www.woinux.fr/youtube-dans-ton-terminal-493 https://www.woinux.fr/youtube-dans-ton-terminal-493#respond Fri, 21 Feb 2014 11:09:22 +0000 https://www.woinux.fr/?p=493 MPS-Youtube est un petit utilitaire qui permet d’écouter, de lire ou de télécharger des vidéos Youtube via le terminal Linux. Bref un bon outil pour geek !

Pour l’installer c’est très simple lancez la commande suivante dans un  terminal

sudo apt-get install python-pip mps-youtube mplayer

Et c’est tout !

Pour lancer MPS-Youtube lancez la commande suivante (dans un terminal bien sûr !!!)

mpsyt

mps-youtube00

Pour lancer une recherche entrez simplement le nom de ce que vous recherchez précédé d’un point. Par exemple, si vous cherchez “Metallica” vous indiquerez :

.metallica

Un petit coup de touche “Entrée” pour valider et voilà le résultat

mps-youtube01

Pour lancer la lecture entrez simplement le numéro de la piste souhaitée.

Là, vous remarquerez que vous avez le son mais pas la vidéo ! Pour remédier à ça c’est très simple aussi, entrez la commande ci-dessous.

set show_video true

Relancer votre recherche et vous verrez la vidéo se lancer dans une fenêtre Mplayer

mps-youtube02

et si vous souhaitez utiliser MPS-Youtube comme simple lecteur audio (donc sans la vidéo) vous pouvez désactiver le player avec la commande suivante :

set show_video false

Enfin pour télécharger une vidéo (ou juste l’audio) vous indiquerez le numéro de la piste souhaitée précédée d’un “d”. Par exemple, si vous souhaitez télécharger la piste numéro 3 :

d 3

Vous obtiendrez ensuite une liste vous proposant plusieurs formats disponibles (elle est pas belle la vie !)

mps-youtube03

Indiquez le numéro correspondant à votre choix de format puis valider en appuyant sur la touche “Entrée”. Le fichier sera disponible dans le dossier Téléchargements de votre répertoire personnel.

Enjoy !

Source

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Installer Quake 3 Arena avec le moteur IOQuake3 sur Ubuntu 12.04 https://www.woinux.fr/installer-quake-3-arena-avec-le-moteur-ioquake3-sur-ubuntu-12-04-465 https://www.woinux.fr/installer-quake-3-arena-avec-le-moteur-ioquake3-sur-ubuntu-12-04-465#respond Mon, 20 Jan 2014 18:57:40 +0000 https://www.woinux.fr/?p=465 La libération du moteur de Quake III a donné naissance au projet IOQuake3, maintenu par des développeurs nostalgiques qui ont, visiblement, décidé de ne pas laisser mourir ce jeu mais aussi de continuer à l’améliorer !

Au niveau des améliorations par rapport au moteur d’origine de Quake III (d’après la documention Ubuntu) :

  • Serveur de téléchargement des données via HTTP et FTP avec cURL
  • Rendu du son avec OpenAL permettant le son surround (5.1 et 7.1) et améliore la qualité générale du son
  • Décodage audio Ogg Vorbis
  • Support VOIP intégré au moteur, avec support optionnel de la localisation des joueurs de Mumble
  • Support IPV6
  • Utilisation de SDL pour les contextes OpenGL, la gestion des fenêtres, et la gestion des entrées, ceci pour améliorer la portabilité
  • Support complet de l’architecture x86_64
  • Amélioration de l’auto-complétion des commandes en console
  • Historique persistant des commandes en console
  • Amélioration des outils QVM (Quake Virtual Machine)
  • Coloration de la sortie du terminal sur les systèmes d’exploitation POSIX
  • Support du format PNG pour les textures
  • Nombreux correctifs de sécurité

Bref, de quoi avoir encore envie de continuer à jouer à ce jeu !

 

Pour installer Quake III Arena avec le moteur IOQuake3 :

Commençons par télécharger les fichiers d’installation du moteur et de ses données :

Pour le moteur (version 32bits) : http://ioquake3.org/files/1.36/installer/ioquake3-1.36-7.1.i386.run

Pour le moteur (version 64bits) : http://ioquake3.org/files/1.36/installer/ioquake3-1.36-7.1.x86_64.run

Pour les données : http://ioquake3.org/files/1.36/data/ioquake3-q3a-1.32-9.run

Si jamais les liens ne sont plus bons : http://ioquake3.org/get-it/

Une fois ces fichiers téléchargés, allons dans le répertoire des Téléchargements :

cd ~/Téléchargements/

On rend exécutables ces deux fichiers :

chmod +x ioquake3-1.36-7.1.i386.run && chmod +x ioquake3-q3a-1.32-9.run

Puis on lance l’installation du moteur :

./ioquake3-1.36-7.1.i386.run

On va laisser les paramètres par défaut puis on clique sur “Lancer l’installation” :

ioquake3_00

À la fin de l’installation, on clique sur le bouton “Quitter” :

ioquake3_01

Nous allons maintenant importer les médias du jeu (personnages, cartes, armes) qui ne sont pas libres et donc toujours la propriété d’Id Software. Nous allons donc récupérer ces fichiers sur le CD officiel du jeu (que vous avez acheté légalement bien évidemment…). Si vous n’avez pas le jeu, vous pourrez le trouver sur Steam.

On copie les fichiers média du jeu dans le répertoire d’installation de IOQuake3 :

cp /chemin_vers_votre_lecteur_cdrom_ou_votre_image_ISO/Quake III Arena/Quake3/baseq3/*.PK3 /home/votre_utilisateur/ioquake/baseq3/

On peut maintenant finaliser l’installation :

./ioquake3-q3a-1.32-9.run

On accepte la licence :

ioquake3_02

On laisse les paramètres par défaut puis on clique sur “Lancer l’installation” :

ioquake3_03

Une fois l’installation terminée on clique sur “Quitter” :

ioquake3_04

Et voilà, on peut maintenant lancer le jeu :

cd ~/ioquake3/
./ioquake3

Enjoy !

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Installation et configuration d’un serveur Web complet sous Debian 7 https://www.woinux.fr/installation-et-configuration-dun-serveur-web-complet-sous-debian-7-425 https://www.woinux.fr/installation-et-configuration-dun-serveur-web-complet-sous-debian-7-425#comments Tue, 07 Jan 2014 12:45:08 +0000 https://www.woinux.fr/?p=425 Dans ce tutoriel, nous allons mettre en place un serveur Web (donc destiné à héberger des sites Internet) avec une configuration similaire à celle d’un hébergement mutualisé. Nous verrons donc comment installer LAMP ainsi qu’un serveur FTP. Attention ce tutoriel nécessite tout de même des connaissances de base en administration de système Linux.

LAMP c’est quoi ?

Un serveur LAMP est un serveur Web. Historiquement, l’acronyme « LAMP » fait référence aux quatre composantes d’un tel serveur Web :

  • Linux : le système d’exploitation constituant la base du système.
  • Apache : le serveur HTTP qui gère la communication avec le client.
  • MySQL : le système de gestion de base de données.
  • PHP : le langage de script utilisé pour générer les pages dynamiques.

1 – Installation d’Apache :

Dans un terminal (en tant qu’utilisateur root), entrez la commande suivante :

apt-get install apache2

Afin de tester le bon fonctionnement d’Apache, lancez votre navigateur et saisissez l’une des adresses ci-dessous :

http://localhost (si vous êtes en local, donc si votre ordinateur fait office de serveur)

http://adresse_ip_de_votre_serveur (si votre serveur est à distance)

Si vous voyez le message “It works !” votre serveur Apache fonctionne :

lamp00Par défaut, Apache affiche certaines informations sur les pages par défaut (comme la page d’erreur par exemple)

lamp01On constate ici que le système d’exploitation, la version d’Apache et de PHP sont clairement affichés ce qui n’est pas appréciable dans la mesure où ces informations peuvent servir à un éventuel pirate. Nous allons donc demander à Apache de ne plus afficher ces informations :

nano /etc/apache2/apache2.conf 

Ajoutez-y la ligne suivante en fin de fichier :

ServerSignature Off

Faites CTRL+O puis ENTRÉE pour sauvegarder

Faites CTRL+X puis ENTRÉE pour quitter

Et voilà :

lamp02

Nous allons maintenant activer des modules supplémentaires d’Apache :

Le module Rewrite : Permet d’activer la réécriture d’URl (URL rewriting) et donc d’obtenir des URL plus propres.

Le module Userdir : Permet de créer un utilisateur système par site. Chaque site sera donc attribué à un utilisateur et se situera dans le répertoire /home/utilisateur/public_html de ce dernier.

On active les modules

a2enmod rewrite
a2enmod userdir

On redémarre Apache pour que les modules soient pris en compte

/etc/init.d/apache2 restart

2 – Installation de PHP

Notre serveur Web fonctionne mais, pour le moment, n’est pas capable de gérer des pages dynamiques ce qui peut très vite nous limiter (notamment si vous souhaitez héberger des CMS comme Joomla, Drupal ou Wordpress par exemple).

On va donc installer PHP ainsi que tous les modules qui vont bien :

apt-get install libapache2-mod-php5 php5 php5-common php5-curl php5-dev php5-gd php5-idn php-pear php5-imagick php5-imap php5-json php5-mcrypt php5-memcache php5-mhash php5-ming php5-mysql php5-ps php5-pspell php5-recode php5-snmp php5-sqlite php5-tidy php5-xmlrpc php5-xsl

On va aussi installer PHP-APC (Alternatice PHP Cache) qui va permettre d’accélérer PHP en générant un cache du code PHP.

apt-get install php-apc

On redémarre Apache pour valider les nouveaux réglages :

/etc/init.d/apache2 restart

Configurons maintenant un peu notre serveur PHP :

nano /etc/php5/apache2/php.ini

Quelques valeurs à modifier :

# Taille maximum des fichiers à uploader (2MB par défaut)
upload_max_filesize = 10M

# Activation de l'UTF-8 par défaut
mbstring.language=UTF-8
mbstring.internal_encoding=UTF-8
mbstring.http_input=UTF-8
mbstring.http_output=UTF-8
mbstring.detect_order=auto

On redémarre Apache pour valider les nouveaux réglages :

/etc/init.d/apache2 restart

Nous allons maintenant tester le bon fonctionnement du serveur PHP. Pour cela, nous allons créer un utilisateur système et un mini site Internet.

adduser phpinfo

Attribuez lui un mot de passe puis validez.

Nous allons maintenant créer le répertoire public_html de l’utilisateur phpinfo dans lequel on placera le mini site

mkdir /home/phpinfo/public_html

Ensuite, créons le seul et unique fichier de notre mini site

nano /home/phpinfo/public_html/index.php

Insérez-y le code PHP suivant :

<?php phpinfo(); ?>

Faites CTRL+O puis ENTRÉE pour sauvegarder

Faites CTRL+X puis ENTRÉE pour quitter

Maintenant donnons les bonnes permissions au répertoire public_html de l’utilisateur phpinfo ainsi qu’au fichier qu’il contient :

chown phpinfo:phpinfo -R /home/phpinfo/public_html/
chmod -R g-w,o-w /home/phpinfo/public_html/

Dans votre navigateur, entrez l’une des adresse suivantes :

http://localhost/~phpinfo (si vous êtes en local)

http://adresss_ip_de_votre_serveur/~phpinfo (si votre serveur est à distance)

Vous devriez voir apparaître la configuration de votre serveur PHP

lamp03

Si vous ne voyez pas cette page et que votre navigateur vous propose de télécharger un fichier PHP :

Ouvrez le fichier /etc/apache2/mods-enabled/php5.conf

nano /etc/apache2/mods-enabled/php5.conf

Et commentez les lignes ci-dessous :

[..]
# <IfModule mod_userdir.c>
# <Directory /home/*/public_html>
# php_admin_value engine Off
# </Directory>
# </IfModule>
[..]

Faites CTRL+O puis ENTRÉE pour sauvegarder

Faites CTRL+X puis ENTRÉE pour quitter

Redémarrez le serveur Apache :

/etc/init.d/apache2 restart

Entrez à nouveau l’adresse dans votre navigateur. La page devrait s’afficher normalement à présent.

3 – Installation de la base de données MySQL

La plupart des sites Internet utilisent une base de données pour stocker toutes sortes d’informations comme les articles ou les comptes utilisateurs par exemple. Il va donc falloir installer MySQL qui est un Système de Gestion de Bases de Données (SGBD). Il existe d’autres SGBD comme PostgreSQL et Oracle mais nous nous arrêterons sur MySQL ici.

apt-get install mysql-server

Pendant l’installation, vous devrez choisir le mot de passe administrateur de MySQL. Choisissez un mot de passe suffisamment solide et notez-le bien !

lamp04

Côté configuration de MySQL on va simplement lui demander d’encoder les bases de données en UTF-8 par défaut.

Éditez le fichier /etc/mysql/my.cnf

nano /etc/mysql/my.cnf

Puis modifiez les valeurs suivantes

# Activer l'utf-8 par default sur le serveur [mysqld]
default-character-set = utf8
default-collation = utf8_general_ci
# Activer l'utf-8 par default sur le client [client]
default-character-set = utf8

Faites CTRL+O puis ENTRÉE pour sauvegarder

Faites CTRL+X puis ENTRÉE pour quitter

Redémarrez le serveur MySQL pour valider les modifications

/etc/init.d/mysql restart

Le serveur de base de données MySQL est prêt à l’emploi. Nous allons maintenant installer phpMyAdmin, une application qui va nous permettre de gérer nos bases de données via le navigateur et une interface graphique simple.

Installez phpMyAdmin

apt-get install phpmyadmin

Pendant l’installation, phpMyAdmin va vous demander le mot de passe de l’administrateur de la base de données MySQL (que je vous ai demandé de bien noter tout à l’heure). Ce mot de passe lui permettra de se connecter aux bases de données. Saisissez ce mot de passe puis faites OK

lamp05

phpMyAdmin va ensuite vous demander de choisir un mot de passe pour vous connecter à l’interface phpMyAdmin. Saisissez ce mot de passe (deux fois en tout) puis faites OK

lamp06

Voilà ! L’installation de phpMyAdmin est terminé ! Vous pouvez y accéder en saisissant l’une des adresses ci-dessous dans votre navigateur :

http://localhost/phpmyadmin (si vous êtes en local)

http://adresse_ip_de_votre_serveur/phpmyadmin (si votre serveur est à distance)

Si tout s’est bien passé vous devriez arriver à l’écran de connexion de phpMyAdmin

lamp07Connectez-vous avec le mot de passe que vous avez choisi lors de l’installation pour vous connecter à l’interface phpMyAdmin

lamp08

Et voila !

4 – Sécurisation du serveur Web avec Suexec et Suphp

Notre serveur est parfaitement fonctionnel cependant, le fait que chaque site soit la propriété d’un utilisateur peut poser des problèmes. Par exemple, vous hébergez un CMS (Joomla ou Wordpress). Tous les fichiers du site sont la propriété d’un utilisateur or lorsque vous utilisez ce site via votre navigateur c’est l’utilisateur Apache (www-data) qui exécute ces fichiers et donc n’aura pas les droits suffisants pour effectuer certaines actions comme les mises à jour du site où l’installation d’une extension par exemple. La solution de facilité serait de modifier les permissions des fichiers et dossiers du site pour qu’Apache ait le droit d’agir dessus mais cela entraînerait un défaut de sécurité. Pire encore, une autre solution de facilité serait de donner la propriété des fichiers et dossiers du site à l’utilisateur Apache (www-data) mais là aussi cela entraînerait un gros défaut de sécurité car si un hackeur arrive à prendre possession du site il se retrouve avec les droits d’Apache et peut causer des dégâts sur le serveur en plus du site. De plus, vous ne pourriez plus utiliser le site par FTP car vous n’auriez plus les droits adéquats.

Pour remédier à ces problèmes, nous allons installer Suexec et Suphp sur le serveur qui va permettre d’exécuter le site en tant que l’utilisateur propriétaire des fichiers et dossiers de ce dernier et non plus en tant qu’utilisateur Apache (www-data). Cette méthode à plusieurs avantages :

  • Sécuriser le serveur : Si un hackeur prend possession du site, il ne pourra pas causer de dégâts sur le serveur puisqu’il n’aura pas les droits Apache.
  • Régler les problèmes de permissions : Le masque de permissions appliqué lors du transfert des fichiers via FTP sera suffisant et l’utilisateur n’aura pas besoin de les rendre trop permissives. Il pourra effectuer les mises à jour de son site, installer une extension ou bien encore uploader une image via un gestionnaire de média sans aucun problème !

Commencez par installer Suexec :

apt-get install apache2-suexec
apt-get install apache2-suexec-custom

Puis éditez le fichier /etc/apache2/suexec/www-data

nano /etc/apache2/suexec/www-data

Si vous avez suivi ce tutoriel depuis le début vous devez modifiez ce fichier comme ci-dessous :

# Répertoire qui contient tous les sites (/var par défaut)
/home
# Répertoire qui contient les fichiers d'un site (/www par défaut)
/public_html

Faites CTRL+O puis ENTRÉE pour sauvegarder

Faites CTRL+X puis ENTRÉE pour quitter

Installez ensuite Suphp

apt-get install libapache2-mod-suphp

Ensuite, éditez le fichier /etc/suphp/suphp.conf

nano /etc/suphp/suphp.conf

Et modifiez le comme ci-dessous :

# Le nom de l'utilisateur Apache
webserver_user=www-data
# Le répertoire qui contient les fichiers d'un site
docroot=/var/www:${HOME}/public_html
check_vhost_docroot=false
#Le masque de permission par défaut
umask=0022

À ce stade il faut maintenant désactiver le module PHP5 puis activer Suxec et Suphp pour qu’ils prennent le relais.

a2dismod php5
a2enmod suexec
a2enmod suphp

Redémarrez maintenant Apache pour valider le tout

/etc/init.d/apache2 restart

Comme Suphp remplace PHP5 il faut aussi penser à copier la configuration que nous avons fait un peu plus haut dans le fichier /etc/php5/apache2/php.ini vers celui de PHP5-CGI (utilisé par Suphp).

Réalisez d’abord une sauvegarde du fichier de configuration de PHP-CGI

mv /etc/php5/cgi/php.ini /etc/php5/cgi/php.ini-old

Puis copiez la configuration de PHP5 à la place de celle de PHP-CGI

cp /etc/php5/apache2/php.ini /etc/php5/cgi/php.ini

Redémarrez maintenant Apache pour valider les modifications

/etc/init.d/apache2 restart

Voilà ! Suexec et Suphp sont activés.

Pour spécifier le propriétaire d’un site à Apache il faudra ajouter la ligne ci-dessous dans le virtualhost de chaque site :

SuexecUserGroup mon_utilisateur mon_utilisateur

Le problème maintenant c’est que phpMyAdmin n’est plus accessible pour deux raisons :

  • Les fichiers de phpMyAdmin appartiennent à Root
  • Les fichiers de phpMyAdmin sont placés dans /usr/share et ce répertoire n’est pas pris en compte par défaut dans Suphp

Nous allons donc devoir remédier à ce problème en créant un utilisateur phpmyadmin à qui nous donnerons la propriété des fichiers de… phpMyAdmin !

Créez un utilisateur nommé phpmyadmin

adduser phpmyadmin

Créez-lui ensuite son répertoire qui accueillera les fichiers de phpMyAdmin

mkdir /home/phpmyadmin/public_html

Comme je l’expliquais un peu plus haut, Suphp ne prend pas en comptes les sites placés dans /usr/share pour des raisons de sécurité or, les fichiers de phpMyAdmin s’y trouvent donc nous allons copier ces fichiers dans le répertoire public_html de l’utilisateur phpmyadmin afin de résoudre ce problème.

Copiez les fichiers de phpMyAdmin dans le répertoire /home/phpmyadmin/public_html

cp -R /usr/share/phpmyadmin/* /home/phpmyadmin/public_html/

Donnez la propriété des fichiers copiés à l’utilisateur phpmyadmin

chown -R phpmyadmin:phpmyadmin /home/phpmyadmin/public_html/

Enfin, modifiez les permissions des fichiers copiés afin qu’elles correspondent au masque de permission autorisé par Suphp (si vous ne le faites pas Suphp vous renverra une “Internal server error” lorsque vous tenterez d’y accéder avec votre navigateur car il jugera les permissions trop… permissives et donc bloquera l’accès pour des raisons de sécurité)

chmod -R g-w,o-w /home/phpmyadmin/public_html/

Il ne nous reste plus qu’à modifier les virtualhosts afin qu’ils ne redirigent plus vers /usr/share/phpmyadmin mais vers /home/phpmyadmin/public_html. Il y a deux cas de figure possible en fonction de la manière dont vous accédez à votre phpmyadmin :

  • Cas 1 :  Vous y accédez en ajoutant /phpmyadmin après l’adresse IP de votre serveur ou bien un nom de domaine qui pointe vers votre serveur (http://adresse_ip_de_votre_serveur/phpmyadmin ou bien http://mondomaine.tld/phpmyadmin par exemple)
  • Cas 2 : Vous y accédez par le biais d’un sous-domaine qui pointe vers votre serveur (http://phpmyadmin.mondomaine.tld par exemple)

Voyons le cas 1 :

Effectuez une copie préventive de la configuration par défaut

cp /etc/phpmyadmin/apache.conf /etc/phpmyadmin/apache.conf.save

Éditez ensuite le fichier /etc/phpmyadmin/apache.conf

nano /etc/phpmyadmin/apache.conf

Et remplacez toutes les occurrences de /usr/share/phpmyadmin par /home/phpmyadmin/public_html

# phpMyAdmin default Apache configuration

Alias /phpmyadmin /home/phpmyadmin/public_html

<Directory /home/phpmyadmin/public_html>
        Options FollowSymLinks
        DirectoryIndex index.php

        <IfModule mod_php5.c>
                AddType application/x-httpd-php .php

                php_flag magic_quotes_gpc Off
                php_flag track_vars On
                php_flag register_globals Off
                php_value include_path .
        </IfModule>

</Directory>

# Authorize for setup
<Directory /home/phpmyadmin/public_html/setup>
    <IfModule mod_authn_file.c>
    AuthType Basic
    AuthName "phpMyAdmin Setup"
    AuthUserFile /etc/phpmyadmin/htpasswd.setup
    </IfModule>
    Require valid-user
</Directory>

# Disallow web access to directories that don't need it
<Directory /home/phpmyadmin/public_html/libraries>
    Order Deny,Allow
    Deny from All
</Directory>
<Directory /home/phpmyadmin/public_html/setup/lib>
    Order Deny,Allow
    Deny from All
</Directory>

Faites CTRL+O puis ENTRÉE pour sauvegarder

Faites CTRL+X puis ENTRÉE pour quitter

Voyons maintenant le cas 2 :

Créez le fichier virtualhost nommé phpmyadmin dans /etc/apache2/sites-available/

nano /etc/apache2/sites-available/phpmyadmin

Et copiez-y le contenu ci-dessous (prenez soin de modifier la ligne ServerName avec votre sous-domaine) :

<VirtualHost *:80>
        ServerAdmin webmaster@localhost

        ServerName phpmyadmin.mondomaine.tld

        DocumentRoot /home/phpmyadmin/public_html
        # On indique à Suexec qui est le propriétaire du site
        SuexecUserGroup phpmyadmin phpmyadmin
        <Directory /home/phpmyadmin/public_html>
        Options FollowSymLinks
        DirectoryIndex index.php

        <IfModule mod_php5.c>
                AddType application/x-httpd-php .php

                php_flag magic_quotes_gpc Off
                php_flag track_vars On
                php_flag register_globals Off
                php_value include_path .
        </IfModule>

        </Directory>

        # Authorize for setup
        <Directory /home/phpmyadmin/public_html/setup>
            <IfModule mod_authn_file.c>
            AuthType Basic
            AuthName "phpMyAdmin Setup"
            AuthUserFile /etc/phpmyadmin/htpasswd.setup
            </IfModule>
            Require valid-user
        </Directory>

        # Disallow web access to directories that don't need it
        <Directory /home/phpmyadmin/public_html/libraries>
            Order Deny,Allow
            Deny from All
        </Directory>
        <Directory /home/phpmyadmin/public_html/setup/lib>
            Order Deny,Allow
            Deny from All
        </Directory>

        ErrorLog ${APACHE_LOG_DIR}/error.log

        # Possible values include: debug, info, notice, warn, error, crit,
        # alert, emerg.
        LogLevel warn

         CustomLog ${APACHE_LOG_DIR}/access.log combined

</VirtualHost>

Faites CTRL+O puis ENTRÉE pour sauvegarder

Faites CTRL+X puis ENTRÉE pour quitter

Le fichier virtualhost est crée mais n’est pas encore actif.

Activez le virtualhost phpmyadmin

a2ensite /etc/apache2/sites-available/phpmyadmin

Puis redémarrez Apache pour valider les modifications

/etc/init.d/apache2 restart

Et voilà ! Votre phpMyAdmin est de nouveau accessible !

5 – Installation d’un serveur FTP

Votre serveur peut maintenant faire fonctionner des sites Internet cependant, si vous souhaitez créer un hébergement pour un ami ou un client par exemple, il va falloir lui donner un moyen de transférer les fichiers de son site sur l’espace de stockage que vous lui aurez créé. On installera pour cela un serveur FTP (File Transfert Protocol) qui, comme son nom l’indique, permet de transférer des fichiers. Il existe plusieurs serveurs FTP sous Linux mais nous verrons VSFTPD car il est très efficace et simple à utiliser.

Commencez par installer le serveur FTP :

apt-get install vsftpd

Configurez ensuite le serveur FTP

nano /etc/vsftpd.conf

Et modifiez les lignes suivantes :

anonymous_enable=NO
local_enable=YES
write_enable=YES
local_umask=022 # Le local_umask doit être le même que celui de suphp !!!
ftpd_banner= Bienvenue sur mon serveur FTP
chroot_local_user=YES # On bloque les utilisateurs dans leur répertoire. Ainsi, ils ne pourront plus remonter l'arborescence du serveur.

Faites CTRL+O puis ENTRÉE pour sauvegarder

Faites CTRL+X puis ENTRÉE pour quitter

Redémarrez ensuite VSFTPD pour que la configuration soit prise en compte :

/etc/init.d/vsftpd restart

Et voilà, le serveur FTP est prêt à l’emploi !

Il se peut que vous obteniez le message d’erreur lors d’une tentative de connexion à l’un de vos comptes FTP :

500 OOPS: vsftpd: refusing to run with writable root inside chroot()

La solution à ce problème dépendra de votre version de VSFTPD (source : http://lindev.fr/index.php?post/2013/04/05/wheezy-vsftpd-et-chroot) :

Tout d’abord, entrez la commande ci-dessous pour connaître votre version de VSFTP :

vsftpd -v

Cas n°1 : La version de VSFTP est supérieure ou égale à 3.

Ouvrez le fichier vsftpd.conf :

nano /etc/vsftpd.conf

Puis ajoutez la ligne ci-dessous :

allow_writeable_chroot=YES

Faites CTRL+O puis ENTRÉE pour sauvegarder

Faites CTRL+X puis ENTRÉE pour quitter

Redémarrez ensuite VSFTPD pour que la configuration soit prise en compte :

/etc/init.d/vsftpd restart

Cas n°2 : La version de VSFTPD est strictement inférieure à 3.

Ajoutez un nouveau dépôt dans le fichier sources.list :

echo "deb http://ftp.fr.debian.org/debian/ sid main" >> /etc/apt/sources.list

Rechargez le liste des dépôts puis installez VFSTPD

apt-get update
apt-get install vsftpd/sid

Reconfigurez VFSTPD en suivant les instructions vues un peu plus haut puis redémarrez ensuite VSFTPD pour que la configuration soit prise en compte :

/etc/init.d/vsftpd restart

Et voilà ! Le problème est résolu !

Ce tutoriel est maintenant terminé ! Votre serveur Web est opérationnel !

Enjoy !

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Cozy Cloud 1.0 “Snowden” : le cloud que vous pouvez héberger, bidouiller et supprimer ! https://www.woinux.fr/cozy-cloud-1-0-snowden-le-cloud-que-vous-pouvez-heberger-bidouiller-et-supprimer-347 https://www.woinux.fr/cozy-cloud-1-0-snowden-le-cloud-que-vous-pouvez-heberger-bidouiller-et-supprimer-347#respond Wed, 23 Oct 2013 07:26:37 +0000 https://www.woinux.fr/?p=347 La première version de Cozy Cloud (nom de code : Snowden) vient d’être publiée ! Cozy est un cloud personnel libre et open-source (GPLv3) développé par des français permettant de réunir sur votre matériel (serveur dédié, PC de salon, etc…) vos applications web et vos données. Avec lui vous aurez tous vos services préférés sous la main (exit les multiples comptes et mots de passe sur différents services !). Vous pourrez faire une recherche sur l’ensemble de vos données en une seule et même requête (dans vos mail et fichiers en même temps par exemple). Mais surtout, vous serez maître et garderez le contrôle absolu de vos données !

Fonctionnalités de Cozy Cloud 1.0 :

  • Client Mail
  • Client IRC
  • Gestionnaire de Todo
  • Gestionnaire de notes
  • Gestionnaire de marques page
  • Gestionnaire de musique
  • Gestionnaire de contacts
  • Météo
  • Gestionnaire de fichiers
  • Calendrier / Agenda
  • Gestionnaire d’images
  • Gestionnaire de flus RSS

L’interface de Cozy Cloud  se veut simple et claire et responsive design. Le système a été pensé afin que gérer ses données soit aussi simple que gérer son smartphone !

Cozy Cloud 1.0 : une plateforme modulable ?

Cozy se base essentiellement sur des modules écrits en Node.js, seul le moteur d’indexation est écrit en Python.
Enfin les applications communiquent en JSON via des API REST, on peut donc facilement interagir avec ou même développer son propre client en ligne de commande.

Un cloud bidouillable ?

Il est possible de développer des applications pour Cozy Cloud sans apprendre un nouvel SDK. Il suffit simplement de d’utiliser Node.js ainsi que leur système de stockage de données. De plus, l’URL de votre dépôt Git peut être référencé dans l’app registry officielle de Cozy Cloud.

Tester Cozy Cloud 1.0 :

Une version de démonstration est accessible à l’adresse suivante : https://demo.cozycloud.cc/#home

Installer Cozy Cloud 1.0 :

Il n’est nul besoin d’une machine de guerre pour faire tourner Cozy Cloud, en effet les recommandations technique ne demandent que 512 Mo de mémoire vive ce qui vous permettra de lancer 4 applications simultanément (10 si vous avez 1024 Mo de mémoire vive). Côté processeur il n’y a pas de limitation car Cozy Cloud peut tourner sur… un Raspberry Pi !

Pour installer Cozy Cloud 1.0 sur votre serveur :

Il est recommandé d’installer Cozy Cloud dans une machine virtuelle !

Installation des dépendances

apt-get install python python-pip python-dev software-properties-common
sudo pip install fabric fabtools

Téléchargement du script d’installation

wget https://raw.github.com/mycozycloud/cozy-setup/master/fabfile.py

Lancement du script d’installation de Cozy Cloud

fab -H sudoer@ip install

Le script installera :

  • Python runtime
  • Node.js runtime
  • CouchDB document database
  • Node tools: cozy-controller, cozy-monitor, coffee-script, compound, brunch
  • Cozy Controller Daemon
  • Cozy data indexer
  • Cozy data layer
  • Cozy proxy
  • Cozy Home (web app)

Il est possible de télécharger et d’installer des images pour VirtualBox , OpenVZ et Raspberry Pi :

Autres liens :

Le site officiel de Cozy Cloud : http://cozy.io/

Le GitHub : https://github.com/mycozycloud/cozy-setup

La démo en ligne : https://demo.cozycloud.cc/#home

Conclusion : Cozy Cloud est une solution de cloud personnel jeune et pas encore tout à fait mature mais très prometteuse. Je pense que je vais suivre de très prêt son évolution !

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